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23 octobre 2009
12 septembre 2009
Eurotrash Jambalaya
Un nouveau site pour trouver des pièces de vieilles anglaises et autres motos européennes.
Le choix des pièces devrait devenir plus important à l'avenir :
http://www.eurojamb.com
Le choix des pièces devrait devenir plus important à l'avenir :
http://www.eurojamb.com
11 septembre 2009
Voxan contre la crise
Extrait du communiqué :
"Issoire, le 03 septembre 2009
La société VOXAN‐SCCM, fabricant français de motos, a été mise en redressement judiciaire par décision du Tribunal de Commerce de Clermont‐Ferrand, le 02 septembre 2009, à la suite de la déclaration d’une cessation des paiements.
Le faible niveau des ventes constaté depuis le second semestre 2008, dans le contexte actuel de crise économique mondiale, associé au retard dans le lancement d’un nouveau modèle de moto, du fait de la défaillance de nombreux sous‐traitants, ne permet plus à la société de faire fonctionner son usine qui emploie une quinzaine de salariés.
Depuis 2002, des apports financiers importants des actionnaires ont été investis, par la société VOXAN‐SCCM, pour redynamiser la marque en développant une gamme complète de six modèles de motos, grâce au savoir‐faire maison d’une équipe technique expérimentée.
Les projets de diversification et de joint venture avec des investisseurs étrangers pour développer de nouveaux marchés dans les pays émergents ont été repoussés sine die, du fait de la crise économique.
Dans ces conditions, les banques n’assuraient plus le financement de l’activité et avaient rendu exigibles l’ensemble de leurs concours, ce qui a conduit le Président du directoire à saisir le Tribunal de commerce.
Le président du Directoire demande la suspension de cotation du titre en date du 04 Septembre 2009.
L’entreprise compte mettre à profit la période d’observation de 6 mois pour trouver des solutions économiques permettant la poursuite d’activité à l’issue du redressement judiciaire.
Eric TERRASSE
Président du Directoire VOXAN‐SCCM
"Issoire, le 03 septembre 2009
La société VOXAN‐SCCM, fabricant français de motos, a été mise en redressement judiciaire par décision du Tribunal de Commerce de Clermont‐Ferrand, le 02 septembre 2009, à la suite de la déclaration d’une cessation des paiements.
Le faible niveau des ventes constaté depuis le second semestre 2008, dans le contexte actuel de crise économique mondiale, associé au retard dans le lancement d’un nouveau modèle de moto, du fait de la défaillance de nombreux sous‐traitants, ne permet plus à la société de faire fonctionner son usine qui emploie une quinzaine de salariés.
Depuis 2002, des apports financiers importants des actionnaires ont été investis, par la société VOXAN‐SCCM, pour redynamiser la marque en développant une gamme complète de six modèles de motos, grâce au savoir‐faire maison d’une équipe technique expérimentée.
Les projets de diversification et de joint venture avec des investisseurs étrangers pour développer de nouveaux marchés dans les pays émergents ont été repoussés sine die, du fait de la crise économique.
Dans ces conditions, les banques n’assuraient plus le financement de l’activité et avaient rendu exigibles l’ensemble de leurs concours, ce qui a conduit le Président du directoire à saisir le Tribunal de commerce.
Le président du Directoire demande la suspension de cotation du titre en date du 04 Septembre 2009.
L’entreprise compte mettre à profit la période d’observation de 6 mois pour trouver des solutions économiques permettant la poursuite d’activité à l’issue du redressement judiciaire.
Eric TERRASSE
Président du Directoire VOXAN‐SCCM
9 septembre 2009
20 juin 2009
19 juin 2009
11 juin 2009
Hound Motorcycle
A nous les p'tites anglaises !
"Le site Hound Motorcyce est lancé. De mes voyages outre Atlantique ou outre Manche, de mes balades en France, je détecte, sélectionne, et revends les perles oubliées d'une époque ou le sexe était moins dangereux que la moto..."
http://www.hound-motorcycle.com/
5 juin 2009
Ace Cafe Reunion 2009
Cette année, la célèbre concentre de L'Ace Cafe London se déroulera les 11,12 et 13 septembre 2009. Une édition spéciale, avec le 50 ème anniversaire du 59 Club. De quoi faire une belle ballade outre-Manche.
Le programme : http://www.ace-cafe-london.com/Programme-Page.aspx
Le programme : http://www.ace-cafe-london.com/Programme-Page.aspx
Photo : Pete Woodhead
4 juin 2009
Les Blousons noirs. Mythes et réalités
vu sur http://www.blousonsnoirs.info
Pourquoi les “Blousons noirs” ? On peut se poser légitiment la question de savoir pourquoi et comment ce terme est apparu, surtout qu’il a fait flores et qu’encore aujourd’hui, cinquante ans après, il reste gravé dans les mémoires.
Tout commence le 24 juillet 1959, deux bandes de jeunes se donnent rendez-vous au square Saint-Lambert dans le XVème arrondissement de Paris pour en découdre. La bagarre n’aura pas lieu, en revanche des incidents sont à déplorer dans le quartier (bris de glace, agressions de passants…). Les journalistes vont se saisir de ce fait divers, et de celui concomitant de Bandol (des jeunes en vacances font peur aux touristes) pour faire leur Une sur la criminalité des jeunes en bande et la dangerosité du phénomène.
En deux jours tous les quotidiens titrent sur la question, aucun vocable n’a encore la prime, on parle soit de « tricheurs » (évocation du film du même nom de Marcel Carné qui est sorti à l’hiver 58), soit des gangs (référence aux États-Unis), soit de bandes de voyous, ou encore de J.V. (initiales signifiant « jeunes à vérifier » employées par la préfecture).
C’est à partir du 27 juillet à la suite de France-Soir que le terme “Blousons noirs” s’impose, partant de la description des jeunes « 10.000 garçons (blousons noirs et polos rouges) » qui deviennent au fil des articles « les blousons noirs », terminologie reprise par le préfet Papon qui, d’une certaine manière, le légitime. Cela sonne bien, c’est évocateur et imagé, c’est adopté ! Dès le 3 août 1959 et jusqu’à la fin de 1962 ces deux mots seront systématiquement synonymes de mineurs ayant commis des actes de délinquance.
Ainsi, comme ses voisins, la France a son qualificatif pour désigner sa jeunesse dite dangereuse. Le phénomène est en effet international, et chaque pays trouve des mots spécifiques pour décrire ses bandes de jeunes : des Vitelloni italiens aux Teddy Boys anglais en passant par les Taio-Zoku japonais ou les Skunna Folk suédois.
Les jeunes d’ailleurs eux-mêmes s’identifient à ces Blousons noirs et prennent vite l’habitude de surnommer leur groupe, ainsi sur le territoire de la Seine fleurissent des bandes répondant à de drôles de noms comme “La bande Fauchman”, “La bande des quatre routes”, “La BRRJL” (lire : Bande rebelle de la rue Julien-Lacroix) ou, plus prosaïque, “La bande du gorille”.
Ainsi naquit le Verbe… Les mots étaient trouvés, et en quelques jours le mythe est devenu réalité.
Tout commence le 24 juillet 1959, deux bandes de jeunes se donnent rendez-vous au square Saint-Lambert dans le XVème arrondissement de Paris pour en découdre. La bagarre n’aura pas lieu, en revanche des incidents sont à déplorer dans le quartier (bris de glace, agressions de passants…). Les journalistes vont se saisir de ce fait divers, et de celui concomitant de Bandol (des jeunes en vacances font peur aux touristes) pour faire leur Une sur la criminalité des jeunes en bande et la dangerosité du phénomène.
En deux jours tous les quotidiens titrent sur la question, aucun vocable n’a encore la prime, on parle soit de « tricheurs » (évocation du film du même nom de Marcel Carné qui est sorti à l’hiver 58), soit des gangs (référence aux États-Unis), soit de bandes de voyous, ou encore de J.V. (initiales signifiant « jeunes à vérifier » employées par la préfecture).
C’est à partir du 27 juillet à la suite de France-Soir que le terme “Blousons noirs” s’impose, partant de la description des jeunes « 10.000 garçons (blousons noirs et polos rouges) » qui deviennent au fil des articles « les blousons noirs », terminologie reprise par le préfet Papon qui, d’une certaine manière, le légitime. Cela sonne bien, c’est évocateur et imagé, c’est adopté ! Dès le 3 août 1959 et jusqu’à la fin de 1962 ces deux mots seront systématiquement synonymes de mineurs ayant commis des actes de délinquance.
Ainsi, comme ses voisins, la France a son qualificatif pour désigner sa jeunesse dite dangereuse. Le phénomène est en effet international, et chaque pays trouve des mots spécifiques pour décrire ses bandes de jeunes : des Vitelloni italiens aux Teddy Boys anglais en passant par les Taio-Zoku japonais ou les Skunna Folk suédois.
Les jeunes d’ailleurs eux-mêmes s’identifient à ces Blousons noirs et prennent vite l’habitude de surnommer leur groupe, ainsi sur le territoire de la Seine fleurissent des bandes répondant à de drôles de noms comme “La bande Fauchman”, “La bande des quatre routes”, “La BRRJL” (lire : Bande rebelle de la rue Julien-Lacroix) ou, plus prosaïque, “La bande du gorille”.
Ainsi naquit le Verbe… Les mots étaient trouvés, et en quelques jours le mythe est devenu réalité.
3 juin 2009
17 mai 2009
9 mai 2009
29 avril 2009
Kulture : Lewis Leather
"La première trace de la société anglaise de fabrication de vêtements D. Lewis remonte à 1892. C'était une société spécialisée dans la fabrication d'accessoires et de vêtements pour les motards pionniers et les aviateurs enthousiastes.
Dans les années 1920, Lewis proposait une ligne de vestes sophistiquées d'aviateurs, de costumes, de chaussures et de chapeaux dont chaque élément contribua à distinguer la marque D. Lewis. Dans les années 1930, la nouvelle marque déposée "Aviakit" avec son logo ailé a été introduite auprès du public par la publicité intensive dans les magazines spécialisés. La société D. Lewis proposa la vente par correspondance ainsi qu'un libre service a leur adresse Londonienne de Great Portland Street et offrait un rabais de 10% aux officiers de la Royal Air-Force.
Pendant les années de guerre, Lewis continua à fabriquer des vêtements pour la Royal Air Force dans leur usine de Northampton, par manque de pétrole et surtout à cause de l'interdiction aux particuliers d'acheter des vêtements de l'armée, les ventes dégringolèrent.
Après guerre, les avions civils et les voitures étaient rares et la Société D. Lewis commença à se concentrer sur le marché émergent des motards du fait du coût faible des motos, un marché bien plus étendu que celui des enthousiastes d'avion et d'automobiles.
Cela continua jusque dans les années 1940 et 1950 car la demande du public était de plus en plus importante pour les vêtements de motards. C'est en 1956 qu'un net essor pris naissance à la sortie du film "The Wild One" avec Marlon Brando car la censure anglaise l'interdit et ne fit qu'accroître l'intérêt des adolescents pour les motards.
La demande pour les blousons et vestes de motards ne faisait que croître et la Société D. Lewis fit appel à l'un de ses amis américains, un homme appelé Bud Ganz. Pendant que la Société D. Lewis produisait déjà des vestes de cuir décontractées et des vestes de motards de haut de gamme, c'est Bud Ganz qui a dessiné la première veste en cuir destinée à la jeunesse anglaise, il l'appela "Bronx" ce fut un succès immédiat qui fut adoptée de suite par les bien connus "Coffe Bar Cowboys", qui jusqu'alors, s'habillaient de vestes et de bottes d'aviateur des surplus de la seconde guerre mondiale pour se protéger des éléments et du tarmac.
Très peu après ils furent suivis par les Rockers.
Durant cette période d'intense activité, D. Lewis introduisit une gamme complète de nouvelles vestes courtes comme la "Thunderbolt", "Brooklyn", et la "Highway Patrol", qui d'une certaine manière étaient influencées par les vestes américaines du moment mais avec les années 1960 qui pointaient, de nouveaux styles firent leur apparition, cette fois-ci très anglaises par le dessin et portant des noms comme "Corsair", "Black Arrow" et la plus importante, la "Lightning".
Le logo écrit "Lewis Leathers" fit son apparition dans les années 1960 et la société commença à faire très attention aux besoins spécifiques des motards anglais qui pilotaient leurs motos anglaises presque couchés avec des guidons bas et de gros réservoirs.
La "Lightning" montra la voie à une nouvelle ligne de veste en cuir pour les motards anglais, pendant que la "Bronx" qui avait subi de petites modifications durant ses nombreuses années de production, continuait à être aussi populaire, la "Lightning" devint le modèle des futures vestes Lewis Leathers.
En 1993, la boutique Lewis Leathers de Great Portland Street à Londres ferma ses portes après 99 années de vente sans interruption mais le nom et le logo restèrent la propriété de Richard Lyon, le propriétaire du moment. Il réduisit la taille de la Société pour reconstruire la marque en relançant le style de vestes qui faisait son succès dans les années 1950. Les détails du style, les cuirs et les accessoires furent recherchés et le gamme renaissante fut lancée pour la saison Automne/hiver 1993.
Les dix dernières années ont vu la marque grandir à nouveau et être reconnue pour sa qualité comme marque emblématique de la culture populaire des motards anglais.
En Juin 2003, Lewis Leathers est passée dans les mains de son sixième propriétaire, Derek Harris. Derek a travaillé avec Richard Lyon sur la gamme Lewis Leathers depuis 1991 et fut très impliqué dans la relance de la compagnie. Son intention, aujourd'hui est de continuer a rechercher dans les archives ses nouvelles sources d'inspiration ainsi que de dessiner de nouvelles créations pour élargir la gamme actuelle.
Beaucoup de gens célèbres ont porté des vestes Lewis Leathers à travers les années, depuis les fameux pilotes anglais comme John Cooper et Barry Sheene, ou Giacomo Agostini jusqu'à des Rockers Punk comme Joe Strummer, Paul Simonon et Mick Jones des Clash, Steve Jones des Sex Pistols (qui est toujours un client Lewis Leathers), et comme des figures populaires comme Chrissie Hynde et Simon Lebon.
Après 100 ans, la légende Lewis Leathers continue et est en train de se développer sur d'autres territoires; les vieilles publicités disaient "Lewis Leathers, à vous pour des années!" et c'est juste la devise que Lewis Leathers veut conserver."
A voir :
http://lewisleathers.free.fr/
(Trophy moto)
Pendant les années de guerre, Lewis continua à fabriquer des vêtements pour la Royal Air Force dans leur usine de Northampton, par manque de pétrole et surtout à cause de l'interdiction aux particuliers d'acheter des vêtements de l'armée, les ventes dégringolèrent.
Après guerre, les avions civils et les voitures étaient rares et la Société D. Lewis commença à se concentrer sur le marché émergent des motards du fait du coût faible des motos, un marché bien plus étendu que celui des enthousiastes d'avion et d'automobiles.
Cela continua jusque dans les années 1940 et 1950 car la demande du public était de plus en plus importante pour les vêtements de motards. C'est en 1956 qu'un net essor pris naissance à la sortie du film "The Wild One" avec Marlon Brando car la censure anglaise l'interdit et ne fit qu'accroître l'intérêt des adolescents pour les motards.
La demande pour les blousons et vestes de motards ne faisait que croître et la Société D. Lewis fit appel à l'un de ses amis américains, un homme appelé Bud Ganz. Pendant que la Société D. Lewis produisait déjà des vestes de cuir décontractées et des vestes de motards de haut de gamme, c'est Bud Ganz qui a dessiné la première veste en cuir destinée à la jeunesse anglaise, il l'appela "Bronx" ce fut un succès immédiat qui fut adoptée de suite par les bien connus "Coffe Bar Cowboys", qui jusqu'alors, s'habillaient de vestes et de bottes d'aviateur des surplus de la seconde guerre mondiale pour se protéger des éléments et du tarmac.
Très peu après ils furent suivis par les Rockers.
Durant cette période d'intense activité, D. Lewis introduisit une gamme complète de nouvelles vestes courtes comme la "Thunderbolt", "Brooklyn", et la "Highway Patrol", qui d'une certaine manière étaient influencées par les vestes américaines du moment mais avec les années 1960 qui pointaient, de nouveaux styles firent leur apparition, cette fois-ci très anglaises par le dessin et portant des noms comme "Corsair", "Black Arrow" et la plus importante, la "Lightning".
Le logo écrit "Lewis Leathers" fit son apparition dans les années 1960 et la société commença à faire très attention aux besoins spécifiques des motards anglais qui pilotaient leurs motos anglaises presque couchés avec des guidons bas et de gros réservoirs.
La "Lightning" montra la voie à une nouvelle ligne de veste en cuir pour les motards anglais, pendant que la "Bronx" qui avait subi de petites modifications durant ses nombreuses années de production, continuait à être aussi populaire, la "Lightning" devint le modèle des futures vestes Lewis Leathers.
En 1993, la boutique Lewis Leathers de Great Portland Street à Londres ferma ses portes après 99 années de vente sans interruption mais le nom et le logo restèrent la propriété de Richard Lyon, le propriétaire du moment. Il réduisit la taille de la Société pour reconstruire la marque en relançant le style de vestes qui faisait son succès dans les années 1950. Les détails du style, les cuirs et les accessoires furent recherchés et le gamme renaissante fut lancée pour la saison Automne/hiver 1993.
Les dix dernières années ont vu la marque grandir à nouveau et être reconnue pour sa qualité comme marque emblématique de la culture populaire des motards anglais.
En Juin 2003, Lewis Leathers est passée dans les mains de son sixième propriétaire, Derek Harris. Derek a travaillé avec Richard Lyon sur la gamme Lewis Leathers depuis 1991 et fut très impliqué dans la relance de la compagnie. Son intention, aujourd'hui est de continuer a rechercher dans les archives ses nouvelles sources d'inspiration ainsi que de dessiner de nouvelles créations pour élargir la gamme actuelle.
Beaucoup de gens célèbres ont porté des vestes Lewis Leathers à travers les années, depuis les fameux pilotes anglais comme John Cooper et Barry Sheene, ou Giacomo Agostini jusqu'à des Rockers Punk comme Joe Strummer, Paul Simonon et Mick Jones des Clash, Steve Jones des Sex Pistols (qui est toujours un client Lewis Leathers), et comme des figures populaires comme Chrissie Hynde et Simon Lebon.
Après 100 ans, la légende Lewis Leathers continue et est en train de se développer sur d'autres territoires; les vieilles publicités disaient "Lewis Leathers, à vous pour des années!" et c'est juste la devise que Lewis Leathers veut conserver."
A voir :
http://lewisleathers.free.fr/
(Trophy moto)
26 avril 2009
Documentaire : Triumph Motorcycles, Meriden Co-Operative (1983)
"Their fight for survival"
Un documentaire très intéressant de la BBC, sur l'expérience de la firme coopérative de Meriden et le projet de la Triumph "Diana", avec son moteur 900cc 4 cylindres ...
La suite du documentaire :
Part 2:
http://www.youtube.com/watch?v=W0q4ENgbFrw
Part 3 :
http://www.youtube.com/watch?v=mbR6gLpZw9M
Part 4 :
http://www.youtube.com/watch?v=ZWj-1YYt-aI
Part 5 :
http://www.youtube.com/watch?v=K_avjrBKXQs
23 avril 2009
22 avril 2009
19 avril 2009
Dan Rouit Flat Track Museum gallery
Un site à ne pas manquer, pour les amateurs de poussière et de Flat-Track : http://www.vft.org/RouitMuseum/Gallery/GalleryIndex.html
16 avril 2009
11 avril 2009
Cool Shirts
"Step-out in Style", Voila de quoi être le plus beau en concentre cet été. Des logos pensés par un passionné et une fabrication made in USA, ces T-shirts ont tout pour plaire. Prix : environ 20€ par T-shirt, la commande se fait directement en ligne sur la boutique : http://www.zazzle.com/clubcaferacer/gifts
8 avril 2009
4 avril 2009
Ace Cafe London
En 1938, le Ace Cafe est construit sur la route "North Circular", reliant d'Est en Ouest le nord de Londres. Du simple bar de bord de route, le Ace Cafe devient dès l'année suivante une petite station-service, alors que l'Angleterre développe son réseau routier.
Après la seconde guerre mondiale, L'Ace est reconstruit. C'est durant ces années d'après-guerre qu'il devient le repère des Rockers londoniens, avec l'arrivée du Rock'n'Roll et l'essor de l'industrie motocycliste anglaise. Ton-Up boys & cafe-racers, nous connaissons la suite ...
29 mars 2009
18 mars 2009
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10 mars 2009
8 mars 2009
6 mars 2009
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